Witold Gombrowicz
Kronos
Stock
2016
Présentation de l'éditeur
Tous les lecteurs de Witold Gombrowicz connaissent son Journal, paru dans la revue de l’émigration polonaise Kultura.
Mais personne à ce jour ne soupçonnait l’existence d’un autre journal,
sulfureux, celui dont l’auteur disait à sa femme Rita : « Si la maison
brûle, tu prends le Kronos et les contrats, et tu cours le plus vite
possible. » Le manuscrit en était resté totalement secret, après la mort
de Gombrowicz en 1969 à Vence. De ce paquet de feuilles écrites à la
main, avec des abréviations qui font penser à un texte
kabbalistique, l’auteur surgit, mis à nu. Dans sa préface, Yann Moix
écrit justement : « D’où vient que ces pages inédites sont si
extraordinaires ? De ce qu’elles sont ordinaires, justement. Ces
pages sont des journées. Des journées comme les vôtres, comme les
miennes. Pour la première fois, on peut assister, en temps réel, aux
effets du quotidien sur le génie gombrowiczien. »
Les ennuis de santé et d’argent. Les lieux. La gloire tardive qui l’atteint. La sexualité sans fard. C’est la coulisse de l’OEuvre, le laboratoire ouvert à notre regard.
Les ennuis de santé et d’argent. Les lieux. La gloire tardive qui l’atteint. La sexualité sans fard. C’est la coulisse de l’OEuvre, le laboratoire ouvert à notre regard.
Traduit du polonais par Malgorzata Smorag-Goldberg
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